Une histoire de Lettres...à assembler, déchiffrer, découvrir, travailler de manière ludique et complémentaire aux cours réalisés en classe.
Ce blog est mis à votre disposition pour vous aider. Toutes les séquences de cours seront complétées par des exercices. Ils vous permettront de vous entraîner et/ou d'approfondir certains points de leçon vus ensemble.
D'autre part, cet espace ne peut vivre sans vos lettres, vos mots, vos productions.Des concours d'écriture sont régulièrement organisés. Le prix d'une publication pour le plaisir d'écrire et d'être lu.
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Je vous souhaite une bonne lecture et de bons entraînements.

Ecriture d'un récit réaliste à partir d'un tableau d'Auguste Renoir

     Bravo pour ces travaux d'écriture rédigés par Maëlle et Victor (4e1)

(activité d'écriture proposée à la page 51 du manuel Français, Magnard, 2011)

     Ce matin là, je fus inspiré par la lumière abondante, si belle et si pure, je conviai donc des amis pour un déjeuner à l'auberge de Beaudru. Celle-ci bordait la Seine, d'où nous étions, nous avions une vue splendide sur le fleuve. Je sortis mon chevalet et mes couleurs de la voiture, je m'installai dans un coin de la terrasse. Je me mis à peindre cette scène amicale, d'où se dégageait de la gaieté dans une ambiance conviviale. Presque tout le monde était élégamment vêtu. Ma femme avait tenu à emporter son chien et s'amusait avec lui. Mon ami Emile était adossé à la rambarde qui bordait l'endroit où nous étions. Tout était calme, paisible et agréable.

      Lorsque d'un coup d'un seul Jules disparut. Il tomba directement dans l'eau. Toutes les personnes présentes s'agitaient et se bousculaient pour voir si ce cher monsieur n'avait rien. Paul, un homme présent à cette assemblée décida de descendre chercher notre cascadeur. Quand ils remontèrent ensemble mis à part Jules qui était rincé, rien de grave ne lui était arrivé.

     On signala que la barrière était mal soclée et cassée puis tout fut réglé. Nous pouvions enfin déjeuner.

Maëlle, 4e1


     Je venais de terminer mon travail de canotier sur la Loire, belle rivière où il fait toujours beau. J'arrivais dans le restaurant où nous allions chaque midi mes collègues et moi. Les tables, dressées à notre intention étaient pleines de bonnes nourritures et de boissons. L'atmosphère était détendue et nous bavardions de tout et de rien. Nous y parlions métier, politique et nous nous amusions à faire des commentaires sur la qualité du vin et de la nourriture. Ma femme, Marie, s'amusait avec notre chien, Médor, au poil noir et luisant. Mon ami, Marc, adossé à la rambarde, regardait du haut de ses 1m95, la joyeuse cacophonie qui régnait sur la terrasse.

  Soudain, on entendit un bruit sourd et sous mes yeux ébahis, la barrière se rompit entraînant Marc avec elle. Le pauvre Marc fit une belle chute car depuis la barrière quatre bons mètres le séparaient du sol. Nous accourûmes à la balustrade pour voir l'état de notre ami. Nous étions rassurés en l'entendant pester contre cette "foutue barrière" comme il disait en criant.

  Quand il revint sur la terrasse, il rassura sa femme en lui disant de ne pas s'inquiéter, que ce n'était rien et qu'il ne s'était pas fait mal. Le patron du restaurant nous expliqua que la barrière avait la soixantaine bien tassée et que sa rupture offrait l'occasion de la changer. Puis nous retournâmes au travail.

Victor, 4e1

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