"Je m’appelle Smith, docteur Smith.
Je me trouvais dans le deuxième vol du K451 ;
c’était un hélicoptère tout nouveau. J’avais été engagé par les militaires pour survoler
l’océan à la recherche d’un petit coin de nature. A ce moment précis, je vis
une île d’un vert foncé, même très foncé, alors je dis au pilote de s’arrêter sur
la plage.
Une fois arrivé sur la plage, je descendis de
l’hélicoptère et vis un animal inconnu à mes yeux. Il avait une peau squameuse
et un air candide mais ne prêta pas attention à moi. J’avançais, mais très vite
je me retrouvai face à une forêt immense. Je m’y aventurais, quand soudain un
bruit lointain me parvint. C’était un bruit d’eau. Je décidai alors de m’y
rendre ; une fois arrivé, je découvris une cascade fabuleuse. Il y avait
autour des marches de pierres, ce qui me fit frissonner.
Je pris mon courage à deux mains et montai tout en
haut de celles-ci, ce qui m’emmena sur une montagne. La vue était fabuleuse
même magique.
Il y avait des centaines d’amphibies sauvages, des
baobabs, même une petite trentaine de cet animal étrange qui m’avait surpris
lors de mon arrivée. Alors, je courus à
toute vitesse pour retourner à l’hélicoptère pour chercher le pilote mais les
deux avaient disparu.... "
Emilien 5ème C
"J’étais en vacances en Corse quand nous décidâmes de faire une excursion. Nous partîmes au matin. Nous surplombions la plaine, il était environ midi quand, après avoir déjeuné, nous décidâmes de redescendre. Il ne faisait pas trop chaud car nous étions sous les arbres. J’avais commencé à prendre un peu d’avance quand j’entendis un bruit de cascade mais en plus doux. J’étais partagé entre la peur de m’écarter du chemin et l’envie d’aller voir ce qui produisait un son aussi doux. Finalement, je décidai d’aller voir cela de plus près. Je marchais donc à travers la forêt qui était de moins en moins adaptée au climat. Des lianes pendaient des branches et les arbres se dressaient de plus en plus haut puis quand j’arrivai enfin à la source du son mélodieux, je vis une chute d’eau qui culminait, j’en étais sûr, bien au-delà du sommet de la montagne. Elle se terminait dans un bassin d’une eau transparente et limpide. Elle était entourée d’arbres luxuriants dignes de la forêt amazonienne. Je retournai ensuite sur le chemin et repris ma descente."
Pierre-Louis
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