Une histoire de Lettres...à assembler, déchiffrer, découvrir, travailler de manière ludique et complémentaire aux cours réalisés en classe.
Ce blog est mis à votre disposition pour vous aider. Toutes les séquences de cours seront complétées par des exercices. Ils vous permettront de vous entraîner et/ou d'approfondir certains points de leçon vus ensemble.
D'autre part, cet espace ne peut vivre sans vos lettres, vos mots, vos productions.Des concours d'écriture sont régulièrement organisés. Le prix d'une publication pour le plaisir d'écrire et d'être lu.
J'attends enfin toutes suggestions. Cet espace est le vôtre et demande à grandir chaque année, comme vous!
Je vous souhaite une bonne lecture et de bons entraînements.

De Robinson à mercredi ECRITURE


Sujet : ECRITURE D'UNE ROBINSONNADE DEPUIS LE NAUFRAGE JUSQU'A L’INSTALLATION SUR L’ILE  


            J’embarquais en direction de l’Inde, avec tout mon équipage et ma belle fille. Elle s’appelait Claudia. Je dis à tout le monde « allons-y ». Ils montèrent les voiles et nous partîmes. J'allai m’allonger quand soudainement, un ouragan se mit à faire virevolter le bateau dans tous les sens. Il se cassa littéralement en deux. J’appelais Claudia de toutes mes forces mais aucune réponse. Un morceau du bateau  s’était envolé et une autre partie me transperça la jambe. Je coulais. Je ne croyais plus à la vie, je ne voyais que mon sang qui nageait dans l’océan rythmé par le courant. Quand soudainement, l’envie me prit de sortir de cette mer gigantesque. Le soleil traversa mon essence de vie, c’était magnifique, étincelant de rouge. Je tentai de bouger les bras pour remonter à la surface, mais je n’eus plus assez de forces. Je me laissai alors couler.

            Je sentis quelque chose qui me touchait du moins qui me picotait. Je me soulevai d’un coup et vit deux poules qui me regardaient d’un air candide, même innocent. Je me mis debout et entendis quelque chose. C’était comme un lion ou un tigre, les poules partirent aussi vite que l’ouragan qui m’avait englouti.

            Je reculais de deux pas ayant peur qu’il ait faim mais non, ce lion me tournait autour et s’allongea à côté de moi. Je l’imitai. Il me voyait comme quelqu’un de sa famille. Une fois réveillé, nous partîmes dans une forêt immense. Je me disais qu’il y avait des bêtes encore pire que ce lion qui était déjà très gros. Il chassa une gazelle qu’il avait repérée.

            Je le suivis, il se mit à courir à toute vitesse pour dessus et en manger une partie. Il me fallait cette nourriture alors je m’approchai de la carcasse mais il rugit. Il ne voulait pas m’en laisser. Je vis une autre gazelle, je lui courus après comme il le faisait mais elle était trop rapide.

            Je construisis une lance à l’aide d’un morceau de bambou qui était dans cette forêt. Je la pris et la lançai de toutes mes forces et courus pour voir si ça l’avait touché. Une fois arrivé, je vis le cadavre. Je voulus faire du feu mais je n’avais plus la force. Je me contentai de cette viande crue. Je courus vers l’animal féroce qui voulait me tuer. Je partis à toute vitesse pour monter dans un arbre.

            Je ne sus quoi faire !

       Emilien 5eC

Séquence 2: Marco Polo Séance 3: Vocabulaire (5e)

La périphrase et la bande-annonce du film "Carnet de voyage"


Une périphrase pour un lieu


Décrire:
1/ La scène de la moto et de l'autocar
ou
2/ La Cordillère des Andes
En utilisant le maximum de vocabulaire (exercices 1,2,3,4p195) vu en cours.
Cinq lignes minimum.





Rédiger un texte descriptif- Récit d'aventures 5e

Bravo aux garçons qui se sont particulièrement détachés sur cet exercice d'écriture:

"Je m’appelle Smith, docteur Smith.

Je me trouvais dans le deuxième vol du K451 ; c’était un hélicoptère tout nouveau. J’avais été engagé par les militaires pour survoler l’océan à la recherche d’un petit coin de nature. A ce moment précis, je vis une île d’un vert foncé, même très foncé, alors je dis au pilote de s’arrêter sur la plage.

Une fois arrivé sur la plage, je descendis de l’hélicoptère et vis un animal inconnu à mes yeux. Il avait une peau squameuse et un air candide mais ne prêta pas attention à moi. J’avançais, mais très vite je me retrouvai face à une forêt immense. Je m’y aventurais, quand soudain un bruit lointain me parvint. C’était un bruit d’eau. Je décidai alors de m’y rendre ; une fois arrivé, je découvris une cascade fabuleuse. Il y avait autour des marches de pierres, ce qui me fit frissonner.
Je pris mon courage à deux mains et montai tout en haut de celles-ci, ce qui m’emmena sur une montagne. La vue était fabuleuse même magique.

Il y avait des centaines d’amphibies sauvages, des baobabs, même une petite trentaine de cet animal étrange qui m’avait surpris lors de mon arrivée. Alors, je  courus à toute vitesse pour retourner à l’hélicoptère pour chercher le pilote mais les deux avaient disparu.... "


Emilien  5ème C


"J’étais en vacances en Corse quand nous décidâmes de faire une excursion. Nous partîmes au matin. Nous surplombions la plaine, il était environ midi quand, après avoir déjeuné, nous décidâmes de redescendre. Il ne faisait pas trop chaud car nous étions sous les arbres. J’avais commencé à prendre un peu d’avance quand j’entendis un bruit de cascade mais en plus doux. J’étais partagé entre la peur de m’écarter du chemin et l’envie d’aller voir ce qui produisait un son aussi doux. Finalement, je décidai d’aller voir cela de plus près. Je marchais donc à travers la forêt qui était de moins en moins adaptée au climat. Des lianes pendaient des branches et les arbres se dressaient de plus en plus haut puis quand j’arrivai enfin à la source du son mélodieux, je vis une chute d’eau qui culminait, j’en étais sûr, bien au-delà du sommet de la montagne. Elle se terminait dans un bassin d’une eau transparente et limpide. Elle était entourée d’arbres luxuriants dignes de la forêt amazonienne. Je retournai ensuite sur le chemin et repris ma descente."        
Pierre-Louis

Séance 6: Les expansions du nom - Cadavre exquis qui révèle une drôle de description.

Activité: à partir du GN "Le galet" (inspiration de l'extrait étudié "Vendredi ou la Vie sauvage", Michel Tournier,1971), les élèves devaient inventer et choisir l'expansion de leur choix (vues en cours). Voici leur description:
 
Un galet [gris, blanc, qui est dans l’eau, petit, argenté, ovale, qui formait un triangle, qui dit « lol » toute la journée, qui dansait, avec des rayures blanches, qui est en forme de cœur, qui était au milieu de mon jardin, qui était cassé, rond, rouge, timide, luisant, tout sale, qui est plus gros que la baleine Willy, qui est dans le sable] me faisait inventer de drôles d’histoires.
Classe de 5eD
 
La grande marguerite scintillante, avec une longue tige, dont les pétales se touchaient les uns les autres, qui sentait très bon et qui chante et qui joue, avec de petites gouttes d’eau, qui avait un petit insecte posé dessus, dont les pétales étaient fanés, flamboyante, qui marchait, magique, du jardin, blanche, très jolie, qui s’ouvre lentement, intéressante, qui avait des pétales en forme de cœur, qui était dans le champ,  nous faisait inventer une drôle de description.
Classe de 5eC

L'histoire d'Hazaran


L'histoire d'Hazaran

Il était une fois, une petite souris surnommée Hazaran. Il vivait avec sa famille à la lisière d'une forêt.

Mais il se trouvait que cette forêt était mystérieuse. Un soir, Hazaran était dans son lit lorsqu'il entendit ses parents parler de la forêt de mystérieuse. Et il lui vint une idée. Il attendit que ses parents soient couchés pour pouvoir se lever et découvrir cette forêt mystérieuse de nuit.

Il se leva, s'habilla, prit une lampe torche et sortit de la maison en direction de la forêt mystérieuse.

Il faisait très noir alors. Hazaran avait peur mais il voulait absolument découvrir cette forêt. Il regarda sa maison une dernière fois et il entra dans la forêt. Avec sa lampe torche, il voyait déjà beaucoup mieux.

Mais soudain, une voix s'adressa à lui.

"Qui est là"?

Hazaran fit un bon et regarda partout autour de lui.

-Bonsoir jeune homme, je m'appelle Sierra et je suis le maître de cette forêt.

- Que fais-tu ici?

-Bonsoir Monsieur, je voulais seulement découvrir cette forêt mais si vous voulez; je peux m'en aller.

-Ok mais mon cher petit, ce que tu ne sais pas c'est que dès que tu rentres dans cette forêt, tu ne peux plus en sortir!

-Oh non! Fit Hazaran.

-Mais attends, je n'ai pas fini, tu ne peux pas sortir de cette forêt que si tu trouves mon petit cochon "Tire-bouchon".

-Ah Ah! Fit Hazaran, un cochon! Cela va être facile!

-Il faut que tu réussisses à casser cet arbre en moins de deux minutes et au bout de l'arbre, tout en haut, il y a «Tire-bouchon" accroché à l'arbre, donc dépêche-toi.

- D'accord répliqua Hazaran".

Il commença à casser l'arbre et au bout d'une minute et 38 secondes, il arriva à le casser.

- Bon et bien tu as réussi le challenge et pour te récompenser, je t'offre mon cochon qui fait des crottes en pièces d'or.

- Oh merci Monsieur, au revoir!

Hazaran partit avec le cochon!
Charlotte 3°C

Hazaran 5e


Hazaran



"Hazaran,ce dieu légendaire, commença Martin sur un ton mystique, on raconte qu’il serait élastique, qu’il saurait manier trois sabres en même temps. On raconte même qu’il pourrait faire pousser ses membres partout dans son champs de vision. Il aurait sauvé le monde d’une fin certaine environ dix fois. Une légende raconte qu’il est invincible, une personne l’aurait vu se faire transpercer par une dizaine de lames sans qu’il ne bronche. Mais, je vais vous raconter la fois où il tua un millier de personnes sans bouger. Il était pris dans une embuscade, des centaines et des centaines de personnes affluaient armées jusqu’aux dents de tous les côtés. Hazaran aurait pu s’enfuir en se téléportant mais il resta calme, cligna des yeux et tous ses ennemis tombèrent, sans vie."        
Pierre-Louis

Bienvenue sur le blog de français!

Je vous souhaite une belle rentrée riche en émotions et en amitié sans oublier le travail!
A vos plumes!

Mme Taverne

Les Misérables, Victor Hugo

Objectif: insérer des paroles rapportées au style direct dans du récit. (activité réalisée en fin de séance, 15min).

Petit-Gervais se fait voler par Jean Valjean, ancien bagnard, inquiétant et violent qui le chasse à coups de bâtons. Jean Valjean prend conscience de son acte et cherche désespérément Petit Gervais.

Il le retrouve, une conversation s'engage entre les deux personnages.

Proposition de Pierre G:

Jean Valjean vit Petit Gervais au loin et cria: "Petit Gervais! Attends!". Petit Gervais se retourna et aperçut Jean Valjean qui lui courait après. A cause de la carrure importante de l'homme, il ne s'arrêta pas et continua à courir mais Jean Valjean le rattrapa et le tint pour ne pas qu'il s'échappât. Jean Valjean lui dit: "Je me suis désolé de t'avoir volé ta pièce et de t'avoir chassé avec un bâton, mais il faut me pardonner, c'est à cause de mon passé que je suis aussi agressif". Petit Gervais répliqua essouflé: "D'accord mais vous m'avez fait très peur.
- C'est pour cela que je t'ai rattrapé, c'est pour te rendre ta pièce et continue à être aussi joyeux, cela apport de la gaieté dans ce monde.
-D'accord Monsieur, au revoir."

Proposition de Margot P:

Après de longues heures à marcher seul dans la nuit, Jean Valjean décida de se reposer quelques minutes. Le soleil apparut à ce moment-là. De loin, il voyait Petit Gervais. Il pensait halluciner et se mit à se frotter les yeux. Mais c'était bien lui! Jean Valjean n'en revenait pas. Alors, il cria: "Petit Gervais! Petit Gervais! Petit Gervais! Petit Gervais! j'ai ta pièce reviens! Jean Valjean courut jusqu'au dernier souffle qu'il eut mais malheureusement Petit Gervais partit avant. Il ne pouvait donc pas lui rendre sa pièce de quarante sous. Alors le miséreux pleura comme la nuit dernière, toutes les larmes de son corps. Dans sa tête, il se dit à nouveau: "Je suis un misérable". C'était la dernière fois qu'il pouvait lui rendre sa pièce et le voir.


Le donneur d'eau bénite- Ecriture finale Nouvelle réaliste- Quatrième

Sujet inspiré du sujet proposé dans le manuel Français, 4e Jardin des Lettres (page 53), 2011.
Objectif: écrire une vie dans un récit réaliste.

   Quand je me fis enlever par les saltimbanques, je passais trois longues années avec eux où je fis le clown et le marchand, trois années qui me parurent longues, très longues,où la fatigue me pesait chaque jour. Heureusement, une vieille dame me recueillit quelque temps juste avant qu'elle ne décédât et qu'elle ne me livrât son lourd héritage.
   Deux jours plus tard, en allant chercher mon dû, je rencontrai deux nobles personnes qui m'interpellèrent. C'était un homme et une femme, probablement mariés, qui avaient entendu parler de moi par le notaire. C'est vrai, j'étais alors orphelin. Ils me proposèrent de m'héberger, j'acceptai car ils avaient l'air tellement aimables. Pendant dix années, je passais des moments inoubliables, j'habitais dans un château majestueux, avec des personnes toujours joyeuses. Je nageais en plein bonheur mais bien sûr, je n'oubliais pas mes chers parents qui pendant ce temps devaient vivre dans une misère inimaginable!Je songeais à les retrouver mais cela me semblait totalement impossible.Quelques temps plus tard, je rencontrai une personne formidable se nommant Marie. Elle avait un magnifique visage, elle était toujours plein de vie. Mes parents adoptifs l'adoraient.
   J'étais alors adulte, mes parents adoptifs étaient partis pour un long voyage en Amérique. ma chère Marie qui est maintenant ma fiancée, vint habiter avec sa mère dans mon nouveau château aussi beau que celui de mes parents. Chaque dimanche, nous allions à la messe. 
  Un beau jour, le donneur d'eau bénite vint me parler, on découvrit que ce fut mon père, accompagné de ma mère. J'étais euphorique. Depuis ce jour, mes parents adoptifs apprirent la nouvelle et revinrent de leur voyage pour les rencontrer. Ce sont maintenant de bons amis, j'allais régulièrement leur rendre visite.
Emilie.D



      A l'âge de cinq ans, les saltimbanques m'enlevèrent, à ce moment-là, je pensais ne plus jamais vous revoir. J'essayais de m'enfuir mais j'étais jeune, ils m'emmenèrent si loin de vous, si loin de tout, qu'aurai-je fait dehors, seul? Je ne pouvais pas partir comme cela, alors je pleurais, tous les soirs, tous les jours.
     Trois ans plus tard, les saltimbanques revinrent en France, je me sentais un peu mieux, je cachais mes larmes, mes peines. Même si j'avais toujours l'idée de m'enfuir dans la tête. Malgré tout, je jouais le jeu, je fis de nombreux spectacles et je gagnai beaucoup d'argent.
     Des années passèrent, j'étais dans ma caravane, je commençai à prendre goût à la vie, je commençais à devenir riche. Puis, on frappa à ma porte, je l'ouvris et je vis un vieil homme accompagné de sa femme.Je vis leur visage sale et fripé, je vis vos yeux briller, c'était le même regard que lorsque je me suis fait enlever. Je vous reconnus les yeux plein de peine et de tristesse, je me mis à pleurer moi aussi mais plus de tristesse, non loin de là, sinon de bonheur!
Emma.R

Ecriture d'un récit réaliste à partir d'un tableau d'Auguste Renoir

     Bravo pour ces travaux d'écriture rédigés par Maëlle et Victor (4e1)

(activité d'écriture proposée à la page 51 du manuel Français, Magnard, 2011)

     Ce matin là, je fus inspiré par la lumière abondante, si belle et si pure, je conviai donc des amis pour un déjeuner à l'auberge de Beaudru. Celle-ci bordait la Seine, d'où nous étions, nous avions une vue splendide sur le fleuve. Je sortis mon chevalet et mes couleurs de la voiture, je m'installai dans un coin de la terrasse. Je me mis à peindre cette scène amicale, d'où se dégageait de la gaieté dans une ambiance conviviale. Presque tout le monde était élégamment vêtu. Ma femme avait tenu à emporter son chien et s'amusait avec lui. Mon ami Emile était adossé à la rambarde qui bordait l'endroit où nous étions. Tout était calme, paisible et agréable.

      Lorsque d'un coup d'un seul Jules disparut. Il tomba directement dans l'eau. Toutes les personnes présentes s'agitaient et se bousculaient pour voir si ce cher monsieur n'avait rien. Paul, un homme présent à cette assemblée décida de descendre chercher notre cascadeur. Quand ils remontèrent ensemble mis à part Jules qui était rincé, rien de grave ne lui était arrivé.

     On signala que la barrière était mal soclée et cassée puis tout fut réglé. Nous pouvions enfin déjeuner.

Maëlle, 4e1


     Je venais de terminer mon travail de canotier sur la Loire, belle rivière où il fait toujours beau. J'arrivais dans le restaurant où nous allions chaque midi mes collègues et moi. Les tables, dressées à notre intention étaient pleines de bonnes nourritures et de boissons. L'atmosphère était détendue et nous bavardions de tout et de rien. Nous y parlions métier, politique et nous nous amusions à faire des commentaires sur la qualité du vin et de la nourriture. Ma femme, Marie, s'amusait avec notre chien, Médor, au poil noir et luisant. Mon ami, Marc, adossé à la rambarde, regardait du haut de ses 1m95, la joyeuse cacophonie qui régnait sur la terrasse.

  Soudain, on entendit un bruit sourd et sous mes yeux ébahis, la barrière se rompit entraînant Marc avec elle. Le pauvre Marc fit une belle chute car depuis la barrière quatre bons mètres le séparaient du sol. Nous accourûmes à la balustrade pour voir l'état de notre ami. Nous étions rassurés en l'entendant pester contre cette "foutue barrière" comme il disait en criant.

  Quand il revint sur la terrasse, il rassura sa femme en lui disant de ne pas s'inquiéter, que ce n'était rien et qu'il ne s'était pas fait mal. Le patron du restaurant nous expliqua que la barrière avait la soixantaine bien tassée et que sa rupture offrait l'occasion de la changer. Puis nous retournâmes au travail.

Victor, 4e1

AI 15/02 Troisième

Allez dernière ligne droite avant les vacances!

1- Les propositions subordonnées

Complétive? Relative? Circonstancielle?
Mêmes interrogations, niveau avancé

2- Accords des participes passés des verbes pronominaux

Choisis le bon accord
Même chose, niveau avancé

3- Orthographe

Formation des mots
Formation des mots- Origines grecques et latines

AI 3ème 18/01

Pour se réveiller!Au menu ce matin:

http://www.ccdmd.qc.ca/fr/exercices_interactifs/

Des exercices pour améliorer son orthographe, sa grammaire et sa conjugaison.

Festina lente!Hâtez-vous lentement!